Table ronde:
¿Nicaragua después de abril 2018, de nuevo en el ojo de la tormenta? (Le Nicaragua depuis avril 2018 – de nouveau dans l’œil du cyclone ?)
Intervenants:
• Dennis Rodgers, professeur de recherche en anthropologie et sociologie, Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) & LatinoLab, Université de Genève, Suisse
• José Luis Rocha, Chercheur associé, Universidad Centroamericana “José Simeón Cañas”, El Salvador
• Julienne Weegels, Professeure adjointe, Centre for Latin American Research and Documentation (CEDLA), Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas
• José Meléndez Duarte, doctorant, Universität Bern et Haute école de Travail social, HES-SO Genève, Suisse
En la primavera de 2018, Nicaragua vivió una crisis política sin precedente. Manifestaciones que estallaron en abril fueron seguidas por una represión política masiva que sigue hasta el día de hoy, a pesar de que Daniel Ortega, figura central de la revolución sandinista de la década de 1980, volvió al poder en 2007. Para los que recuerdan el simbolismo progresista de esta revolución, es difícil entender estos acontecimientos… Desentrañando los entresijos del régimen actual, explorando los juegos de poder internos y externos, y analizando las fuentes de oposición y contestación, esta mesa redonda tratará de desvelar la matriz de un sandinismo versión “2.0”, para mejor proyectar el futuro del país.
(Au printemps 2018, le Nicaragua a vécu une crise politique sans précédente. Les manifestations qui éclatèrent à la mi-avril ont été suivies d’une répression politique massive qui continue jusqu’à ce jour, et ceci, alors même qu’à la tête du pays se trouve Daniel Ortega, figure centrale de la révolution sandiniste des années 1980, revenu au pouvoir en 2007. Pour qui se rappelle du symbole progressiste qu’a représenté cette révolution, il est difficile de comprendre ces évènements… En décortiquant les dessous du régime actuel, en explorant les jeux de pouvoir tant internes qu’externes et en analysant les sources d’opposition et de contestation, cette table ronde cherchera à dévoiler la matrice d’un sandinisme version « 2.0 », afin de mieux projeter le futur du pays.)
